Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Adhérez au Front National !

                                        encart adhesion

A remplir et à retourner à :

F N 27

BP 63

27190 CONCHES EN OUCHE PDC

Chèque à l'ordre du    

FN 27   

Téléchargez le bulletin d'adhésion

ici

Municipales 2014

     municipales 2014  

 

   Téléchargez le pré-engagement de candidature 

                                 ici  

 

EVREUX BLEU MARINE

Téte de liste: Emmanuel CAMOIN 

FRONT NATIONAL

38,rue Josephine

BP:30511

27005 EVREUX CEDEX

*************************************************************   

LOUVIERS BLEU MARINE 

Téte de liste : Ludovic LARUE

http://ludoviclarue.unblog.fr/  

Courriel: ludoviclarue27@gmail.com 

contact : 06.70.42.31.61

 

************************************************************ 

LES ANDELYS BLEU MARINE

 Téte de liste :  Christophe DELACOUR

http://fn.lesandelys.over-blog.com/ 

Courriel: fn.lesandelys@gmail.com

contact : 06.34.01.09.69

 

************************************************************* 

LE NEUBOURG BLEU MARINE

Téte de liste : Jean Baptiste MARCHAND

9,avenue de la libération Appt 32

27110 LE NEUBOURG

http://une-autre-voix-pour-le-neubourg.overblog.com/

courrielleneubourgbleumarine@gmail.com                         

 

************************************************************  

VERNON BLEU MARINE

Téte de liste : Eric AKERMANN

BP:430

27204 VERNON Cedex

http://vernonmarine.blogspot.fr/

Courriel: vernonbleumarine@gmail.com

 

************************************************************  

 LA BARRE EN OUCHE BLEU MARINE 

  Téte de liste: Alain BIGOT

 

 

 

************************************************************  

LE THUIT - SIGNOL BLEU MARINE

Téte de liste :   Henri ROGIER

 

 

 

 

*********************************************************** 

NASSANDRE BLEU MARINE 

Tete de liste : Daniel LEBLANC

 

 

 

***********************************************************

ST SIMEON BLEU MARINE

Tete de liste : Bruno MAUCONDUIT

 

 

 

***********************************************************

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Journal de bord de J.M Le Pen

       
    
  n° 327 / 12 juillet 2013 / /

 
Comme chaque semaine retrouvez le blog vidéo de Jean-Marie Le Pen présenté par Guillaume L’Huillier. 

Siège du FN 27 à Evreux

  Flamme-Haute-Normandie                  Blason Eure

 

Siège de la Fédération du FN 27 

 

38,rue Joséphine 27000 EVREUX

 

Par courrier: FN27  Bp:63  27190 Conches en ouche PDC

 

Courriel : frontnational27@gmail.com 

 

Jours des permanences: 

 Mercredi: 14h00 - 19h00

  Samedi:    9h00  - 12h00  

                        14h00 -  17h00  

 

28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 19:15
Partager cet article
Repost0
25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 10:08

Le sujet traité par C dans l'air ce lundi soir 24 juin, "Le FN trouble le jeu", était bien entendu l'élection partielle de Villeneuve-sur-Lot où le siège de député de Cahuzac s'est retrouvé vacant et a été remporté par l'UMP devant le candidat du FN, le candidat du PS n'ayant même pas fait de la figuration tellement il était nul.

Une heure et quelques de discussions pour en  arriver au constat que je vous ai délivré hier : la fin du bipartisme. Pourtant les deux politologues et le sondeur de gauche qui affrontaient l'homme du Figaro magazine se sont battus comme des beaux diables pour nier deux faits : le report très "politiquement incorrect" de voix socialistes sur le candidat du FN, et l'émergence du troisième parti de gouvernement qu'est devenu le FN.

Seulement, sans jamais vouloir admettre qu'ils faisaient erreur, ils se sont trahis à deux reprises. L'un des politologues a dit : "depuis quinze ans, le FN est le premier parti ouvrier de France" et un peu plus tard "…et il est en train de devenir le premier parti du monde rural".

Autrement dit, le FN est le premier parti qui, en France, représente le peuple des travailleurs "de base", comme disait Georges Marchais, ce qui est exact si l'on considère en caricaturant un peu, que le PS est le parti de la grande bourgeoisie et des bobos du XVème art. et l'UMP celui des mêmes du XVIème, c'est-à-dire qu'ils représentent le peuple des villes intra-muros.

Or, les ouvriers qui sont au FN, d'où venaient-ils ? Du parti communiste et du parti socialiste. Jean-Marie Le Pen l'avait dit un jour "il y a plus d'ex-communistes au FN qu'il n'y a de communistes au Parti communiste". Et le vice-président très médiatisé qu'est Florian Philippot est lui-même un ex-socialiste tendance Chevènement. Comme l'a expliqué le gars du Figaro Magazine, il faut bien que les voix qui ont gonflé le score du FN à Villeneuve-sur-Lot soient venues de quelque part, et elle ne pouvaient pas venir de l'UMP qui avait son candidat en lice vers qui sont allées toutes le voix UMP, plus quelques socialistes obéissant à l'ordre de "front républicain" de Jean-Philippe Désir.
Mais le bruit court que Désir aurait donné officiellement et médiatiquement un ordre de "barrage républicain", et officieusement et secrètement à la permanence PS de Villeneuve, un ordre de vote pour le FN afin d'en gonfler le score et avoir une "preuve" de la collusion UMP-FN à brandir.

Ensuite, l'homme du Figaro a dit sans que personne ne le contredise "Il y a maintenant un parti puissant le FN, un autre parti puissant, l'UMP et un troisième parti puissant, le PS, où est la place du centre ?" Or, les trois autres venaient de refuser pendant plusieurs minutes d'admettre la fin du bipartisme, alors, comment nomment-ils "trois partis puissants" si ce n'est par le terme de "tripartisme" ?

L'un des politologues a confirmé, "c'est exact et l'on ne comprend pas qu'il (le centre) soit absent alors qu'un boulevard s'offre à lui". Un boulevard parce que le PS est encore bridé par le Front de Gauche malgré la chute de celui-ci, et l'UMP parce que Copé pose lui-même une barrière qui pourrait devenir une fracture en interdisant tout rapprochement même stratégique et circonstanciel avec le FN. Ce même politologue a dit quelque chose d'intéressant "cet espace vide, Hollande l'a bien vu et glisse subrepticement vers sa droite pour l'occuper", exact a confirmé l'autre politologue "parce qu'il n'y a aucune personnalité d'envergure au Centre". Exact aussi, ni Bayrou l'illuminé qui entend la voix de la vierge Marie lui annoncer qu'il sera président, ni l'indécis Borloo qui recule devant chaque obstacle, n'ont la carrure pour développer un Centre vigoureux.

Puis la discussion a superficiellement abordé la fin probable de l'UMP où s'affrontent deux clans : les polyvalents politiques que sont Fillon, NKM, Bertrand, Jupé, Baroin, Le Maire, ils sont à l'UMP mais pourraient aussi bien être au PS vu leur évident tropisme de gauche, et je ne vous parle même pas de la Bachelot qui a été recrutée avec un gros salaire par l'organe médiatique officiel du PS, Canal +, et crache maintenant dans la soupe et sur Sarkozy qui la fit ce qu'elle est devenue. Et puis le clan Copé, de droite, sans doute, mais qui a des pudeurs de chaisières dès qu'il entend parler du FN, sans jamais dire en quoi les valeurs et les idées politiques que défend le FN seraient nauséabondes et justifieraient un "cordon sanitaire".

Un auditeur l'a d'ailleurs fait observer : ou bien le FN est immonde et on l'interdit, ou bien il répond aux critères d'un parti républicain et on doit le traiter en partenaire potentiel. Or personne ne peut démontrer que le FN soit infréquentable, ce qui n'interdit pas de ne pas être d'accord avec lui.
Moi même je pense qu'il fait une erreur d'analyse sur l'Europe et l'euro, les vrais problèmes n'étant ni l'Europe ni l'euro. Pour retrouver l'Europe telle qu'elle a été et n'aurait pas dû cesser d'être, protectrice et dynamique, il faudrait revoir la composition et les attributions de la Commission européenne que tout le monde a laissé se développer comme un cancer sans chercher à la contrôler, sauf un temps Sarkozy quand il fut pendant un an le président de l'Europe dans le cadre de la présidence tournante, le Parlement européen où tous les partis envoient leurs feignants pas recasables comme Bové, Rocard ou Cohn-Bendit, et aussi la France elle-même : elle ne sait pas s'adapter à une économie élargie comme ont su le faire d'autres pays comme l'Allemagne, le Danemark, la Pologne et quelques autres plus malins ou plus travailleurs qui réalisent des bons scores à l'exportation et en économie interne avec le même euro que nous et les mêmes obstacles de la Banque européenne, de la Commission et autres.

Cela dit, le FN a raison sur bien d'autres questions comme celle de la porosité non contrôlée des frontières européennes à l'immigration, le doit de vote des étrangers, etc.

90 % du temps de ce C dans l'air a été consacré au FN, ce qui montre bien qu'il est devenu incontournable, d'ailleurs les intervenants sont convenus qu'il pourrait bien passer 1er parti de France dans plusieurs régions devant l'UMP et le PS dès les élections européennes, après que le sondeur de service ait annoncé : "29 % des Français pourraient prochainement voter FN".

Autre observation intéressante de la politologue : le FN fait élire des inconnus, celle de l'Oise qui n'avait même pas visité la circonscription, ou celui de Villeneuve-sur-Lot, étudiant en BTS-négociation de 23 ans, parce que les électeurs ne votent pas pour le candidat, même quand il a une petite gueule de gendre idéal, mais pour le FN et ce qu'il défend et représente. De plus, ce sont souvent des jeunes comme Marion Le Pen, ou jeunes en politique comme maître Collard, pas des vieilles carnes recuites dans la politique depuis leur entrée à l'ENA et qui n'en sortiront que les pieds devant, comme celles qui squattent les postes à l'UMP et au PS, incapables d'avoir une idée intelligente pour nous sortir du marasme. Les Français se disent alors : "on les a tous essayés et ils ne sont pas bons, tentons le FN", a dit la politologue.

Finalement, ce fut la conclusion de la discussion, ils ont tous rejoint l'analyse que vous avez pu lire hier dans Minurne, écrite dans la nuit de dimanche à lundi : nous sommes en tripartisme avec un parti qui monte encore et va arbitrer entre PS et UMP, et s'ils veulent survivre, l'UMP, mais aussi le PS, devraient clarifier le sens qu'ils donnent aux "valeurs" qu'ils disent représenter et en tirer des conséquences claires et compréhensibles par tous sur ce qu'ils comptent faire et proposer à aux Français dans l'avenir.

Maurice D.


P.S. : pour ceux qui n'auraient pas entendu l'information, une vidéo de la RATP montre que l'agresseur de la bagarre qui a abouti à la mort de Clément Méric il y a trois semaines, c'est Clément Méric lui-même, il est le premier à attaquer dans la rue et porter des coups aux skinheads après avoir été le premier à les agresser verbalement dans la boutique de vêtements alors que les skinheads cherchaient à éviter la bagarre, comme l'avaient dit les témoins.


Partager cet article
Repost0
25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 09:27

Marie-Anne Baudoui-Maurel se dit surprise de l’accueil des jeunes, « meilleur qu’en étant présidente de l’association des Amis de Nicolas Sarkozy ».

 

Marie-Anne Baudoui-Maurel se dit surprise de l’accueil des jeunes, « meilleur qu’en étant présidente de l’association des Amis de Nicolas Sarkozy ».

 Marie-Anne Baudoui-Maurel sera la candidate frontiste, investie par le Rassemblement Bleu Marine le 31 mars dernier, pour concourir aux élections municipales à Digne-les-Bains en 2014. L’actuelle conseillère municipale de l’opposition a « quitté » la présidence départementale de l’association des Amis de Nicolas Sarkozy, « déçue de voir la bataille des chefs et l’image déplorable que l’UMP a donné à ses militants ».

Dans le parti de l’ex-président, on traite la transfuge par le silence. « L’UMP n’a rien à dire sur cette personne », déclare le secrétaire départemental Franck Couriol.

Celle qui agace

Peu importe, pour Marie-Anne Baudoui-Maurel qui dit avoir trouvé une famille politique et un refuge idéologique : « Des valeurs républicaines, un rassemblement patriote des gens de droite comme de gauche ». Récusant le terme d’extrême, Marie-Anne Baudoui-Maurel se défend « de tout racisme et de tendance fascisante : Je n’aurais jamais adhéré au Front national sous Jean-Marie Le Pen » ajoute-t-elle. Seulement, « il faut rompre avec la politique de clientélisme et d’affichage ».

Et la dentiste de Malijai a la dent dure. Pour elle, « Marine dans sa façon de parler, la sincérité et l’engagement ne font aucun doute. Les idées du Rassemblement Bleu Marine sont plus tranchées, plus claires que celles de la coalition UMPS », affirme-t-elle reprenant à son compte l’expression langagière de la cheftaine.

Elle aussi a le verbe haut. Ses interventions au conseil municipal en ont agacé plus d’un. Isolée face à une majorité de gauche et des représentants d’une opposition atone, elle a occupé l’espace. Souvent en bout de table, marginalisée, elle reconnaît aujourd’hui la difficulté de se construire une crédibilité politique hors des partis.

Son colistier lui tourne le dos

Autrefois membre du comité départemental de l’UMP, « je n’ai pas demandé l’investiture du parti pour les municipales 2008 », souligne-t-elle, préférant conduire sa liste L’Espoir pour Digne-les-Bains, seule : « J’ai repris ma carte à l’UMP en 2011 et 2012 ». Elle siège depuis le début de cette mandature au conseil municipal sous l’étiquette divers droite. « Cette dénomination a été choisie par le maire. Quant à moi, je voulais revêtir l’appellation de “société civile” car nous regroupions différents horizons » explique-t-elle. Elle continue de siéger au banc divers droite, « puisque j’ai été élue sous cette étiquette ».

Jean-Paul Rebsomen ne l’a pas entendu de cette oreille. Son colistier a préféré quitter le navire à l’annonce de l’adhésion de sa tête de liste au Rassemblement bleu marine, comme il l’a déclaré dans les jours suivant sa démission du conseil municipal dans les pages de La Provence. La carte électorale à jouerAprès un échec aux précédentes législatives au premier tour desquelles elle a obtenu 3,19 % des suffrages dans la première circonscription quand le FN caracolait à 16,57 %, Marie-Anne Baudoui-Maurel aborde cette campagne avec la sérénité d’appartenir à une famille politique qui lui a longtemps fait défaut. Reste à constituer une liste de 33 noms en respectant les règles de parité imposées pour les élections municipales. « Nous en avons plus, et plus de femmes que d’hommes », avance-t-elle, souhaitant couper court à toute détraction. Tous ne sont pas encartés au FN qui compte 61 militants à Digne-les-Bains et, certains sont issus de sa liste conduite en 2008. Bien qu’inéligible jusqu’au 8 février 2014 pour avoir déposé ses comptes de campagne législative après la date, Marie-Anne Baudoui-Maurel a déjà enfourché son prochain cheval de bataille pour, enfin, exister sur la scène politique locale. Son blog intitulé Les Dignois d’abord acte la transfiguration. 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 21:40

Les principaux résultats du sondage « Intention de vote auprès des Français un an après le premier tour de l’élection présidentielle »

Un an après la Présidentielle, Nicolas Sarkozy serait au second tour avec Marine Le Pen, si les élections devaient se rejouer dimanche prochain.

En cas de candidature de François Fillon ou Jean-François Copé, Marine Le Pen affronterait François Hollande au second tour.

Ainsi, un an plus tard, l’actuel chef de l’Etat, François Hollande, ne serait pas présent au second tour, avec les candidats de 2012.
Seuls 15% des Français voteraient pour François Hollande, 32% choisiraient Nicolas Sarkozy et 22% Marine Le Pen, selon ce sondage Future Thinking-SSI. [...]

1

                                                              Consulter le PDF

Partager cet article
Repost0
23 juin 2013 7 23 /06 /juin /2013 01:51

Le Point.fr - Publié le 22/06/2013 à 20:00 - Modifié le 22/06/2013 à 20:13

 

Pour préserver sa majorité à l'Assemblée, le Parti socialiste aurait intérêt à ce que le candidat FN l'emporte dans le Lot-et-Garonne.

 

Étienne Bousquet-Cassagne est en course pour être le 4e député FN au Palais-Bourbon.

Étienne Bousquet-Cassagne est en course pour être le 4e député FN au Palais-Bourbon. © MEHDI FEDOUACH / AFP

Par

Le front républicain a du plomb dans l'aile. Et si la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a réitéré vendredi son intention de "faire barrage au Front national", cette position n'a pas été clairement assumée par tous les membres du Parti socialiste, notamment au niveau local. Interrogée dans les colonnes de Libération, Nicole Gérion, militante du PS à Villeneuve-sur-Lot, expliquait vendredi avoir reçu un mail de la section locale qui indiquait très clairement que les militants socialistes n'étaient "pas tenus de voter UMP". De son côté, le coordinateur de la campagne du candidat socialiste vaincu au premier tour, Bernard Barral, indiquait vendredi dans Le Monde qu'il voterait blanc : "On ne va quand même pas aller apporter nos voix pour qu'elles comptent comme une sanction de la politique du gouvernement que nous soutenons." De son côté, Marie-Françoise Béghin, conseillère régionale et municipale de Villeneuve-sur-Lot, a déclaré publiquement qu'elle s'estimait "déliée" de tout engagement.

Mais les membres du Parti socialiste n'ont pas été les seuls à rechigner à faire barrage au FN. Les consignes de vote du Front de gauche ont tardé à arriver. Dans un communiqué, le parti a finalement expliqué que l'élection du candidat UMP "aggraverait les politiques antipopulaires", mais que "pas une seule voix ne doit aller à l'extrême droite." Une pirouette qui ne ressemble en rien à une consigne de vote en faveur du candidat UMP et qui s'inscrit dans la ligne de la candidate du NPA, qui a refusé de trancher "entre deux candidats de droite". Les écologistes ont également refusé de se prononcer clairement : "Les électeurs, dont les voix ne nous appartiennent pas, sauront trouver l'attitude la plus conforme à leurs convictions", indiquait récemment un communiqué.

"Ils veulent conserver l'avance de leur majorité"

Vendredi, l'ancien ministre du Budget, qui n'a pas totalement perdu son influence dans la région, a été accusé par l'ancien directeur de campagne de Bernard Barral d'avoir appelé à voter Front national. "Jérôme Cahuzac avait dit que sans lui nous aurions le Front national. Je pense que de la même manière qu'il l'a fait contre Bernard Barral au premier tour de cette élection, il va agir pour que les gens favorisent le vote FN. Je pense qu'aujourd'hui c'est la démarche dans laquelle s'est inscrite Jérôme Cahuzac", a affirmé Benoît Dupuy, au micro de BFM TV. "C'est mon sentiment, et j'ai ce sentiment-là parce que j'ai des éléments, des témoignages qui me poussent à le croire", a-t-il ajouté. L'ancien ministre du Budget, qui a l'habitude de se présenter comme l'ultime solution contre l'extrême droite, pourrait bien s'inscrire dans une telle démarche pour pousser les faits à lui donner raison. Mais comment expliquer que des élus socialistes ou faisant partie de la majorité ne donnent pas clairement de consignes de vote contre leur ennemi héréditaire ?

Le virage à droite d'une partie de l'UMP pourrait bien expliquer en partie l'absence de consignes de vote. Mais sur place, un partisan du Front national tente une autre explication : "Le Parti socialiste a intérêt à ce que nous gagnions car ils ne souhaitent pas grossir les rangs de l'UMP à l'Assemblée nationale. Ils veulent conserver l'avance de leur majorité." Alors que l'abstention s'est surtout fait ressentir du côté des électeurs socialistes lors du premier tour, ceux-ci ne semblent toujours pas prêts à se déplacer dimanche : "Je suis désabusé, je vais voter blanc. J'ai été trop énervé par l'histoire de Chirac. Je ne veux pas que ça recommence", explique Alain, un quinquagénaire interrogé sur place, en référence à la présidentielle de 2002, pendant laquelle Jean-Marie Le Pen était arrivé au second tour. Alors que 29 % des Français pourraient voter FN à une élection locale, selon un sondage BVA pour l'émission CQFD d'i>Télé, il semblerait que le scénario de la victoire de l'UMP au détriment du FN ait peu de chances de se produire dimanche dans le Lot-et-Garonne.


Click here to find out more!
Partager cet article
Repost0
22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 09:33

                                     

                                              

  La veuve d'un bijoutier décédé lors d'un braquage qui avait mal tourné en 2011, à Cambrai (Nord), a été victime à son tour jeudi matin d'un vol au cours duquel elle a été blessée.

La veuve d'un bijoutier décédé lors d'un braquage qui avait mal tourné en 2011, à Cambrai (Nord), a été victime à son tour jeudi matin d'un vol au cours duquel elle a été blessée. | AFP
            

Jeudi matin, sa veuve Monique a été victime d'un nouveau braquage. Deux hommes se sont introduits dans la bijouterie vers 10 heures, profitant de l'entrée d'une personne âgée à laquelle Mme Bouquignaud avait ouvert la porte, avant de faire rentrer au moins un complice, selon le procureur de la République à Cambrai, Jérôme Marilly.

«Elle a une fracture du bras, la comme un compteur à gaz....»

Les braqueurs, armés d'un taser, ont fait usage de violence à l'encontre de la bijoutière pour dérober le fond de caisse et des bijoux.  Il semble qu'au moins une autre personne les attendait dans une voiture à proximité du magasin. La commerçante, qui a également été la cible d'un jet de gaz lacrymogène, a été admise à l'hôpital de Cambrai. Son état n'inspire pas d'inquiétude, mais elle a été «très choquée» par ce braquage intervenu trois mois après le procès de celui-ci au cours duquel son mari a trouvé la mort, a souligné le procureur. Les malfaiteurs sont toujours activement recherchés jeudi soir. La police judiciaire de Lille est chargée de l'enquête
.Interrogée par RTL, la fille de Monique Bouquignaud  confie, émue, qu'elle est anéantie par l'agression de sa mère : «Ils se sont acharnés sur elle, explique t-elle.. Elle a vraiment cru qu'ils allaient la tuer». Et d'ajouter : «Elle a une fracture du bras, la tête comme un compteur à gaz, des hématomes partout, des tuméfactions sur le visage...Faut qu'on les arrête... mais je n'attends plus rien. J'attends juste que l'on se reconstruise.»
VIDEO. La gérante blessée dans un nouveau braquage 

LeParisien.fr

Partager cet article
Repost0
22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 01:10
Par Alice Cazin (avec Matthieu Deprieck), publié le 21/06/2013 à 17:39

La percée du parti de Marine Le Pen aux récentes élections législatives partielles et les sondages qui le placent de plus en plus haut inquiètent le monde politique. 
Le FN est-il en train de devenir le deuxième parti de France?
Selon un récent sondage BVA, un tiers des français pourrait voter pour le Front National.
afp.com/Eric Feferberg
 
Deux jours après la nouvelle élimination d'un candidat PS dès le premier tour au profit du Front national, un cadre de l'UMP s'interroge: "Quand on s'en tient aux chiffres, et uniquement aux chiffres, ne faut-il pas le reconnaître? Le FN est le deuxième parti de France." 
24 mars et 16 juin, deux dates, qui illustrent la montée en puissance du FN. Le 24 mars, dans l'Oise, l'UMP Jean-François Mancel a été réélu de justesse après un duel face à la frontiste Florence Italiani. Le 16 juin, le PS est éliminé dès le premier tour à Villeneuve-sur-Lot. Marine Le Pen se félicite alors: son parti est "devenu le centre de gravité de la vie politique". 
Comme un air de 21 avril 2002
Dans ce qui fut le siège de Jérôme Cahuzac ancien ministre socialiste du Budget, le PS laisse donc l'UMP et le FN s'affronter au second tour, ce dimanche.  
Le FN est devenu le centre de gravité de la vie politique 
Un électrochoc qui ressemble à un avertissement à un an des municipales et surtout des élections européennes. D'après un sondage réalisé par l'institut britannique Yougov, le parti de Marine le Pen recueillerait 18% des suffrages aux prochaines européennes, juste derrière l'UMP et devant le PS. Toujours en deuxième position. 
La droite comme la gauche paient leur impuissance face à la crise économique et sociale qui envoie mois après mois des dizaines de milliers de Français au chômage. Si on ajoute l'augmentation des impôts, l'immigration vécue par une partie de la population comme un problème et enfin la multiplication des affaires Cahuzac, Tapie et autres, tous les ingrédients sont réunis pour la monté des extrêmes.  
Dominique Reynié, directeur de la Fondation pour l'innovation politique, le soulignait récemment dans Le Monde: "Le FN bénéficie d'un effet essuie-glace, qui lui permet de récupérer les déçus du gouvernement. Hier les déçus de la droite, jugée trop faible contre l'immigration; aujourd'hui, les déçus de la gauche, jugée trop faible contre le chômage. Le populisme est un opportunisme de crise, donc un fourre-tout." 
Une dédiabolisation de l'extrême droite
La fille du fondateur du FN, Marine le Pen entend aussi bénéficier de sa stratégie de dédiabolisation du parti d'extrême droite. Une stratégie qui a déjà porté ses fruits selon un récent sondage. Le nombre de Français jugeant le FN comme un danger pour la démocratie est passé pour la première fois sous la barre des 50%. 
Ajoutons à cela la popularité de Marine le Pen qui atteint pour la première fois les 40% et l'augmentation du nombre d'électeurs UMP favorables à des alliances avec le parti de Marine Le Pen aux élections locales. Selon une enquête Ifop, 47% des électeurs UMP souhaiteraient des accords avec le Front national aux prochaines élections locales. Ils n'étaient que 32% à plaider pour de telles alliances en 2010.  
Ce sera le défi de la formation de Jean-François Copé qui a interdit les alliances avec le FN au risque de suspendre ses députés favorables à ces accords. Un élu UMP du Gard a d'ailleurs été exclu par le bureau politique de son parti puisqu'il soutenait la candidature du député FN, Gilbert Collard, dans cette ville pour les prochaines élections municipales de 2014.  
L'UMP essaye donc de garder la main. Le front républicain se met en place pour contrer l'extrême droite. Mais peut-il empêcher la progression du FN. Ce n'est pas l'avis de son vice-président, Florian Philippot: "Les Français ont bien décrypté que ça n'était pas un front républicain. C'est un front des copains pour rester en place."  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 00:52

Le Point.fr - Publié le 21/06/2013 à 11:01 - Modifié le 21/06/2013 à 15:42

 

Un haut magistrat, indigné, anonyme et rebelle, brise son devoir de réserve pour crier sa rage après la condamnation d'un manifestant contre le mariage gay.

 

De nombreuses arrestations ont eu lieu après les manifestations contre le mariage gay ces derniers mois (photo d'illustration).

De nombreuses arrestations ont eu lieu après les manifestations contre le mariage gay ces derniers mois (photo d'illustration). © AFP

Par et Aziz Zémouri

La condamnation, jeudi, à deux mois de prison ferme pour "rébellion" envers les forces de l'ordre de Nicolas, un étudiant sympathisant de la Manif pour tous, choque dans les commissariats et les tribunaux. Mais pas seulement. Ce jeune homme de 23 ans devient un martyr sur les réseaux sociaux. L'étudiant, engagé dans le mouvement en janvier dernier, a participé, dimanche 16 juin, à un rassemblement devant les locaux de M6 alors que François Hollande y était interviewé. Il a ensuite manifesté sur les Champs-Élysées en compagnie de 200 opposants au mariage pour tous. Repéré par les forces de l'ordre, déjà condamné en comparution immédiate le 28 mai dernier pour "non-dispersion après sommation", Nicolas est en détention.

Sa condamnation sévère ébranle la magistrature comme la hiérarchie policière. Non que tous ces magistrats et grands policiers soutiennent aveuglément le mouvement anti-mariage gay, mais ils s'inquiètent d'une dérive, d'un glissement, d'une certaine partialité, d'une justice qu'ils craignent de voir devenir injuste, d'une police aux ordres. Ces hauts fonctionnaires ne se reconnaissent pas dans les interpellations et condamnations des manifestants anti-mariage pour tous. Et certains affirment, non sans grandiloquence, être entrés en résistance face à cette dictature. Une défiance qui ne saurait être un bon signe dans une société crispée et fragile. Le Point.fr reçoit de nombreux témoignages d'incompréhension et de révolte à l'égard de ce que certains serviteurs de l'État vivent comme une supposée répression.

Nous donnons aujourd'hui la parole à l'un d'eux. Un magistrat anonyme, indigné, rebelle. Excessif sûrement, mais son cri est le symptôme d'une France qui se clive.

 Clic >>>  RETROUVEZ la tribune du magistrat :

Partager cet article
Repost0
20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 13:02

Politique  Par Jean-Baptiste Garat   Mis à jour le 19/06/2013 à 20:03  Publié le 19/06/2013 à 18:57     

 

 Jean-François Copé et Jean-Louis Costes, qui représentera l'UMP au deuxième tour de la législative partielle dans le Lot-et-Garonne.

Jean-François Copé et Jean-Louis Costes, qui représentera l'UMP au deuxième tour de la législative partielle dans le Lot-et-Garonne. Crédits photo : MEHDI FEDOUACH/AFP

Olivier Lapierre, ancien maire UMP de Saint-Gilles, a été exclu du parti. Celui-ci souhaitait un accord avec le Front national aux municipales de 2014. Cette décision est l'occasion pour Jean-Fraçois Copé de rappeler la ligne de conduite de sa formation face à la montée électorale du Front National.

 

Jean-François Copé a voulu faire un exemple. Le conseiller général UMP du Gard Olivier Lapierre a été exclu du parti mercredi. L'ancien maire de Saint-Gilles avait annoncé qu'il souhaitait et soutiendrait la candidature du député du FN Gilbert Collard aux municipales de 2014. «S'il se présentait, je serais à ses côtés pour l'aider, avait-il expliqué au micro de France Bleu. Je serai sur la liste s'il le désire.» «Je pense qu'il devrait y avoir pas mal de gens qui le soutiendront, UMP, même UDI, qui sont prêts à faire le pas avec lui», avait-t-il ajouté.Cette déclaration publique donne l'occasion au président de l'UMP de tester la solidité de sa stratégie vis-à-vis du FN. Début mai à Nîmes - dans le Gard justement -, il avait expliqué quelle serait la ligne de conduite de sa formation: «Dans un duel FN-PS au deuxième tour d'une élection locale, je n'appellerai certes pas à voter pour le FN mais je n'appellerai pas non plus à voter pour le parti socialiste», avait-il expliqué à la tribune. «Le Front national est un parti extrémiste. Il n'y aura pas d'alliance avec ce parti», avait-il ajouté, en aparté cette fois.

«La diabolisation du FN a prouvé ses limites électorales»

L'exclusion d'Olivier Lapierre est donc l'occasion pour Copé de rappeler «qu'aucun accord d'aucune sorte ne sera accepté avec le Front national», alors que beaucoup à l'UMP craignent une «contagion». «Rien ne bougera au niveau national, rien ne peut bouger sans quoi nous sommes morts. Mais dans les petites villes, on voit nos digues s'effondrer une à une», déplore un ténor UMP de la région Paca. Dans les rangs du parti, certains doutent de l'efficacité de la stratégie arrêtée par Nicolas Sarkozy et défendue par Jean-François Copé. «La diabolisation du FN a prouvé ses limites électorales, c'est l'une des leçons à tirer des partielles», poursuit l'élu.

Analyser les motivations des Français qui votent FN

Au bureau politique mercredi, Laurent Wauquiez est monté au créneau pour demander un réexamen de la stratégie du parti vis-à-vis de l'électorat du FN. Le vice-président du parti a demandé la création d'un groupe d'étude pour analyser les motivations des Français qui votent pour Marine Le Pen et ses candidats. «L'UMP ne peut plus se contenter de taper sur le PS et de garder un silence prudent à l'égard du Front national», résume un participant de la réunion.

La proposition de Laurent Wauquiez n'a cependant pas été retenue. Du moins pour l'instant. «Si on ne regarde pas plus loin, on peut se satisfaire de nos résultats lors des partielles, conclut un copéiste. Le vote FN croît peut-être au détriment de la gauche aujourd'hui. Mais demain, quand il gagnera, ce sera contre nos candidats.» Une réalité que Copé lui-même a soulignée en admettant que «l'avenir du parti» était en jeu.

    L'ancien maire UMP de Saint-Gilles se rallie à Gilbert C

Conseiller général du Gard, Olivier Lapierre pourrait être exclu de l'UMP pour sa prise de position en faveur du député proche de Marine Le Pen.

L'ancien maire UMP de Saint-Gilles (Gard) a annoncé lundi son ralliement à Gilbert Collard (Rassemblement bleu Marine), au cas où ce dernier déciderait de se présenter aux élections municipales de 2014.

«Je lui ai simplement dit que s'il se présentait, je serais à ses côtés pour l'aider», a déclaré Olivier Lapierre, premier magistrat de Saint-Gilles de 2008 à 2010, au micro de France Bleu Gard Lozère.

«C'est un ami de longue date (…) Je pense qu'il pourrait y avoir d'autres UMP et UDI prêts à franchir le pas avec nous», a ajouté le médecin, qui est toujours conseiller général du Gard.

Dans les deux heures qui ont suivi la diffusion de l'interview, le vice-président de l'UMP, Jean-Paul Fournier, sénateur-maire de Nîmes, a demandé l'exclusion d'Olivier Lapierre, dont le sort pourrait être scellé mercredi, à l'issue d'une réunion du bureau politique du parti.

                        Les déclarations d'Olivier Lapierre sont les premières tenues ainsi par un élu de l'UMP. Dans le Gard, seul département de France à avoir placé Marine Le Pen en tête au premier tour de l'élection présidentielle de 2012 (25,51 %), elles sont lourdes de sens. Le président de l'UMP, Jean-François Copé, n'avait d'ailleurs rien laissé au hasard le 6 mai dernier à Nîmes, en déclarant en aparté de son meeting: «Le Front national est un parti extrémiste. Il n'y aura pas d'alliance avec ce parti. C'est l'honneur de la droite française que de dire cela», menaçant d'exclusion ceux qui contreviendraient à la consigne.

Quelques semaines plus tôt, Gilbert Collard avait prévenu dans Le Figaro que des élus UMP étaient prêts à le rejoindre. Si le député du Gard - qui avait réuni 48,08 % au premier tour des législatives dans la ville - n'a pas encore officialisé sa candidature à Saint-Gilles, il la sait chargée de symboles pour le Front national. La cité camarguaise est en effet la première à avoir élu un maire frontiste, Charles de Chambrun, en 1989.

 Source Le figaro  

 

Partager cet article
Repost0
20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 11:27

Nicolas B. est ce jeune étudiant de 23 ans qui attendait pacifiquement François Hollande,devant la TV M6,pour lui criait son désaccord sur la loi pour le mariage pour tous !!

Il a été ciblé et pourchassé par la police,jusque dans un restaurant où il s'était réfugié.

Refusant le prélèvement d'ADN,ne voulant pas étre fiché, comme les criminels,les détracqués sexuels.

Il est tombé sous le coup de la loi,pour rébellion,condamné à  2 mois de prison ferme et incarcéré !!

PS: Je suis ulcéré de voir ce jeune Nicolas condamné,incarcéré pour 2 mois à l'issue de l'audience,pour ce seul refus de controle ADN. Un rappel à la loi était sufisant ( et encore !!)

Ou bien la justice sous l'aval de l'état PS totalitaire et répressif,voulait t-on  porter un coup supplémentaires aux militants de 

<< CONTRE LE MARIAGE POUR TOUS >> ??

Deux poids,deux mesures par notre justice !!

Hier,la justice << juste pour certains >>  a condamnée à de la prison avec surcis les jeunes délinquants ayant détroussé les voyageurs dans le RER D !!

Pour la justice, Nicolas a mérité la prison !!  les hommes et femmes politique ayant profité de leurs mandats pour corrompre,détourner des millions d'euro à leurs profits,ne sont pas comdannés à la prison ferme ??

 

ECRIVEZ A NICOLAS POUR LUI APPORTER VOTRE SOUTIENT

Merci.

Le bureau de la fédération FN 27

 

Envoyez vos COURRIERS de soutien à notre prisonnier politique Nicolas Berns :
M. Nicolas BERNARD BUSS
404 247 // D-4
M.A de Fleury
... 7, avenue des peupliers
91 700 FLEURY-MEROGIS

Consignes:
- Lettres Photos et Cartes postales bienvenues !
- Mettre votre nom et prénom ainsi que l'adresse au dos de l'enveloppe.
- Le courrier étant lu et surveillé, ne pas mettre d'information confidentielle
- Pas d'argent directement
( pour cela envoyer à solidaritepourtous.fr )
- Pas de colis = Possibilité livre de poche
(couverture souple et pas relié.)

Partager cet article
Repost0