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LE THUIT - SIGNOL BLEU MARINE

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Journal de bord de J.M Le Pen

       
    
  n° 327 / 12 juillet 2013 / /

 
Comme chaque semaine retrouvez le blog vidéo de Jean-Marie Le Pen présenté par Guillaume L’Huillier. 

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 08:19
EN FRA~1La logique de nos gouvernants est décidément imparable ! En août 2012, Manuel Valls impose les démantèlements de camps insalubres des Roms. Ça fait toujours bien !...
Mais il impose également ce qu’il appelle « un diagnostic social », c’est-à-dire l’obligation de proposer des « solutions d’hébergement et d’insertion aux populations concernées ».
Si l’on traduit ces formules de novlangue, cela donne : chaque Rom expulsé de sa caravane jugée insalubre sera logé aux frais de l’État, donc à nos frais, à l’hôtel ou dans un logement social.¢
Et si les préfets ne leur trouvent pas rapidement une solution ?... Ils paieront 75€ nets par jour et par personne d’astreinte !
Le préfet du Rhône a ainsi été condamné pour ne pas avoir tout de suite relogé quelques familles Roms.
Les campements de Roms sont tous jugés insalubres et le gouvernement a 2 solutions :
E Soit il verse 75€ par jour et par personne aux Roms
E Soit il leur fournit l’hôtel…
Dans tous les cas, les populations Roms vivant en France touchent un joli pactole : 75€ X 30 Jours = 2 250€ nets par mois !
Qu’on ne s’étonne donc pas du trou abyssal de nos finances…
À ce propos, après une hausse très importante des prélèvements obligatoires entre 2012 et 2013, le collègue de Manuel Valls, le ministre de l’Économie Pierre Moscovici, a annoncé une nouvelle hausse de ces prélèvements en 2014, de 6 milliards d’euros, pour l’instant…¢
Novopress (posté par Patricia)
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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 08:17

 Economie,Publié le 30 mai 2013, 07h00

Si la relation de François Hollande avec les patrons est « courtoise », pas « connivente », il en reçoit parfois à l’Elysée, comme ici, où Gérard Mestrallet (GDF Suez, à gauche), Baudouin Prot (BNP Paribas, au centre), Paul Hermelin (Capgemini, à droite) arrivent avec d’autres membres de l’Association française des entreprises privées.

Si la relation de François Hollande avec les patrons est « courtoise », pas « connivente », il en reçoit parfois à l’Elysée, comme ici, où Gérard Mestrallet (GDF Suez, à gauche), Baudouin Prot (BNP Paribas, au centre), Paul Hermelin (Capgemini, à droite) arrivent avec d’autres membres de l’Association française des entreprises privées. (AFP/Thomas Samson.)

Malgré ses efforts , François Hollande a bien du mal avec les petits patrons. En témoigne la cote de confiance du chef de l’Etat auprès de ces créateurs de richesses (ils représentent plus de 90% des entreprises). Elle est en chute libre : 14% seulement l’approuvent, selon le baromètre trimestriel des très petites entreprises (TPE — moins de 20 salariés —) réalisé par l’Ifop*. Une impopularité record depuis la création de cet indicateur en 2000. Seul le gouvernement Raffarin, en 2005, a connu un tel désaveu, mais après trois ans d’exercice du pouvoir.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 18:15
  
Le Monde.fr| 23.05.2013 à 16h11• Mis à jour le23.05.2013 à 17h56
Par Delphine Roucaute
Vandana Nacu a pu obtenir un titre de séjour en intégrant le programme "Andatu".
Vandana Nacu a pu obtenir un titre de séjour en intégrant le programme "Andatu". | Delphine Roucaute/Le Monde.fr

La famille Nacu fait partie des premières à avoir intégré "Andatu" ("pour toi", en romani), un programme lancé par la préfecture de la région Rhône-Alpes afin de régulariser et intégrer des Roms issus de l'Union européenne. Dans les locaux de Forum Réfugiés, l'association chargée de la mise en œuvre du dispositif, Stéphane et Vandana montrent fièrement leur carte de séjour, que la préfecture leur a accordée sans même qu'ils aient à justifier d'un emploi. Une véritable aubaine, quand on sait que l'obtention de ce sésame peut prendre plusieurs mois et est soumise à la condition d'un travail ou d'une présence continue sur le territoire depuis cinq ans.

"On habite dans le quartier Vaise, maintenant", sourit Vandana, dans un français encore un peu tâtonnant, après un an de cours dispensés par Forum Réfugiés. "Notre dernière fille, elle, parle tout le temps français et pas du tout romani", s'enorgueillit Stéphane. Aujourd'hui logés dans un grand appartement, les Nacu se souviennent de cette étrange période de six mois pendant laquelle ils ont vécu avec leurs cinq enfants dans le parking de l'église Saint-Antoine de Gerland, après l'expulsion en septembre 2011 de l'immense squat qu'ils habitaient dans ce quartier du sud de Lyon. Avec soixante Roms, ils avaient été accueillis par le père Matthieu Thouvenot, qui s'était mobilisé, aux côtés du cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, pour intercéder en leur faveur auprès de la préfecture. Six mois plus tard, Andatu était né.
La préfecture de Rhône-Alpes n'avait pas alors souhaité communiquer sur le projet. Car en janvier 2012, la campagne présidentielle battait son plein et "on voulait pouvoir travailler tranquillement", raconte Damien Malard, responsable d'Andatu pour Forum Réfugiés. La communication a bien changé depuis : à la mairie et à la préfecture, Andatu est devenu l'atout phare de Lyon. C'est tout le paradoxe d'une préfecture réputée pour démanteler systématiquement les camps illégaux.
Depuis, ce programme a régularisé 243 personnes, et la préfecture a annoncé l'ouverture du dispositif à 400 Roms d'ici un mois, soit un cinquième des quelque 2 000 Roms qui, d'après la préfecture, habitent dans l'agglomération lyonnaise.
Le père Matthieu Thouvenot a accueilli à plusieurs reprises dans son église des Roms expulsés de leur campement.
Le père Matthieu Thouvenot a accueilli à plusieurs reprises dans son église des Roms expulsés de leur campement. | Delphine Roucaute/Le Monde.fr
Les personnes choisies pour intégrer le programme Andatu se voient remettre un titre de séjour, sésame qui leur donne automatiquement accès aux minima sociaux (CMU, allocations familiales et RSA), et l'autorisation d'exercer le métier qu'elles souhaitent, bien au-delà de la liste de 291 métiers qui circonscrit légalement le travail des Roumains et des Bulgares en France. En parallèle, Forum Réfugiés s'engage à fournir un hébergement d'urgence, puis un logement social, ainsi qu'une formation au français, et un accompagnement dans la recherche d'emploi.
"DES CRITÈRES OPAQUES"
En échange, les personnes choisies doivent signer un contrat tripartite avec l'association et l'Etat, dans lequel elles s'engagent à suivre régulièrement les cours et animations qui leur sont proposés, et à ne pas commettre de délit entraînant des poursuites judiciaires. Le contrat est valable un an et renouvelable une fois : les premières personnes ayant signé ce contrat arriveront donc à la fin de leur engagement début 2014. L'objectif est que les familles deviennent totalement indépendantes, aussi bien financièrement que dans leurs démarches administratives.
Mais ce qui pose problème, pour les autres associations lyonnaises qui travaillent avec les Roms, c'est la question des critères d'admission. Le choix est en effet laissé à l'entière discrétion de la préfecture. Aurélie Neveu, coordinatrice chez Médecins du Monde, dénonce "des critères opaques que la préfecture refuse de communiquer". "Il y a une grande injustice dans ce programme : comment croyez-vous qu'on réagit, quand c'est la personne de la tente d'à côté qui est choisie et qu'on doit rester dans un squat ?", questionne-t-elle.
Jean-François Ploquin, président de Forum Réfugiés, tente d'énoncer quelques critères : les personnes doivent être volontaires, vivre depuis un certain temps à Lyon, avoir déjà été chassées d'un squat sans être relogées et leurs enfants doivent être scolarisés. On avance également des critères exclusifs : il ne faut pas avoir déjà bénéficié d'une aide au retour, ne pas être sous le coup d'une obligation de quitter le territoire et ne pas avoir commis de délit.
UNE CRISPATION SUR LE TERRAIN
La réalité est plus simple : la première vague d'intégration s'est faite sur critère géographique – les familles issues du squat de Gerland. La deuxième vague s'est appuyée, elle, sur les associations, qui ont fait remonter auprès de la préfecture le profil des familles "repérées depuis longtemps sur le territoire".
"Le choix de la préfecture n'est pas arbitraire", défend Damien Malard, de Forum Réfugiés, tout en concédant que "le processus de décision n'est pas clair". "Au début, c'était expérimental, les personnes choisies étaient au bon endroit au bon moment, explique-t-il. Le problème, c'est que maintenant, ce sont les personnes repérées par les bonnes associations." Le responsable d'Andatu reconnaît qu'il y a eu une certaine crispation sur le terrain, depuis un an, et qu'un climat pesant s'est installé avec les familles qui n'ont pas été choisies. Il raconte que celles faisant partie d'Andatu essayent de se faire discrètes, afin de ne pas être sollicitées par leurs connaissances, qui croient ainsi pouvoir jouir d'une recommandation au sein de l'association.
Autre critique : les familles en conflit ouvert avec la préfecture se plaignent d'être exclues du système. Ainsi, les cinquante personnes ayant attaqué la préfecture en justice pour accéder à l'hébergement d'urgence auquel elles avaient droit avec l'évacuation de leur camp n'ont pas été admises. Une information que la préfecture se refuse à confirmer.
Jean-Philippe (qui se fait simplement appeler par son prénom), responsable du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP) pour les Roms à Lyon, dénonce un "mauvais programme n'ayant aucune base juridique". "Andatu, c'est une dérogation au droit commun, qui repose uniquement sur la capacité discrétionnaire du préfet à accorder des titres de séjour", tempête ce militant de longue date.
Damien Malard est bien conscient du paradoxe qui consiste à expulser systématiquement les Roms, tout en régularisant à tour de bras quelques centaines de personnes choisies selon des critères opaques. "Ce n'est pas nouveau, le côté 'hydre à cinq têtes' des préfectures, soupire-t-il, avant d'avancer : Mais s'il n'y avait pas Andatu, y aurait-il autre chose ?"


Combien coûte Andatu ? Des quatre salariés de départ, l'équipe Andatu va bientôt compter quinze personnes, pour un budget annuel d'un million d'euros financé à moitié par les aides européennes. Le reste du financement est apporté par le Grand Lyon et par l'Etat. Globalement, le programme coûte 9 euros par jour et par personne. Probablement moins que les expulsions suivies d'un relogement temporaire en hôtel.
Ci-dessous, un exemplaire du contrat tripartite que doivent signer ceux qui intègrent le programme :
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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 16:23

L'Europe annonce une nouvelle année d'effort pour la France en 2014

Le Monde.fr| 22.02.2013 à 11h34• Mis à jour le22.02.2013 à 15h09Par Philippe Ricard - Bruxelles, bureau européen

Olli Rehn a présenté les prévisions de la Commission européenne de croissance et de déficit pour les pays de la zone euro, vendredi 22 février. Olli Rehn a présenté les prévisions de la Commission européenne de croissance et de déficit pour les pays de la zone euro, vendredi 22 février. | AFP/JOHN THYS

 

Après 2013, la Commission européenne annonce une nouvelle année d'efforts pour la France en 2014. Olli Rehn, le commissaire en charge des affaires économiques et monétaires, a certes pris acte vendredi 22 février que François Hollande, et son gouvernement ne parviendront pas à ramener le déficit sous le seuil des 3 % du produit intérieur brut dès cette année. Le déficit français est au contraire attendu à 3,7 % en 2013, pour une croissance de l'ordre de 0,1 %, selon les prévisions d'hiver publiées vendredi à Bruxelles. Le trou budgétaire pourrait même atteindre les 3,9 % du PIB l'an prochain, à politique inchangée, craint Bruxelles.

Dans la foulée de ces sombres prévisions, M. Rehn s'est bien gardé de menacer Paris de sanctions, ou d'exiger un nouveau tour de vis budgétaire dès cette année, qui risquerait de tuer dans l'œuf toute perspective de reprise. Mais pour lui, le gouvernement français doit étaler dans le temps, et amplifier les efforts engagés pour assainir les comptes publics et redresser la compétitivité de la deuxième économie de la zone euro. Le vice-président de la commission a suggéré de fixer un nouveau délai pour réduire en 2014 les déficits, "nettement en deçà des 3 %". Une recommandation en ce sens serait formulée d'ici au mois de juin par Bruxelles, puis soumise au conseil des ministres des finances de la zone euro.

 

 

Pour justifier son approche, M. Rehn s'appuie sur deux éléments : en retard sur sa feuille de route au sujet du déficit nominal (les fameux 3 %), Paris, est en revanche, sur le point de tenir la promesse prise en 2010, par le gouvernement précédent, d'une réduction de plus d'un point de pourcentage par an du déficit structurel – hors fluctuation de la conjoncture. Un bon point pour Bruxelles. Par ailleurs, le trou d'air traversé par l'économie française, que la commission ne tient pas à amplifier davantage sur fond de récession de la zone euro (-0,3 % attendus cette année), est susceptible d'avoir des conséquences négatives majeures sur les comptes publiques. Dès lors, le pacte de stabilité et de croissance – tel que renforcé en 2011 au plus fort de la crise des dettes – permet, a indiqué M. Rehn, de repousser les échéances, quitte à durcir les objectifs pour 2014.

Lire notre analyse sur les conséquences d'un déficit revu à la hausse

UN CHÔMAGE ATTENDU À 11 % EN 2014

Le commissaire aux affaires économiques et monétaires se propose de trancher d'ici au mois de mai sur la base des projets du gouvernement Ayrault en matière d'économies budgétaires, et de réformes, attendus pour le 30 avril à Bruxelles. "Etant donné les risques liés à une dette publique qui a déjà grimpé au-dessus de 90 % et le défi de compétitivité très important auquel fait face l'économie française, il faut que la France poursuive en parallèle les efforts budgétaires et les réformes structurelles pour la croissance et l'emploi", a-t-il souligné. En insistant en particulier sur une nouvelle réforme des retraites.

Pour Olli Rehn, les décisions budgétaires déjà prises par le gouvernement Ayrault, le Pacte de compétitivité concocté en novembre dernier sur la base du rapport Gallois, et l'accord récent entre partenaires sociaux sur la réforme du marché de travail, "montrent que les défis sont relevés par la France". Mais le chantier risque d'être de longue haleine. D'ailleurs, selon les services de M. Rehn, la courbe du chômage ne sera sans doute pas inversée cette année, contrairement aux promesses en ce sens faites à l'automne dernier par le chef de l'Etat : le taux de chômage devrait même atteindre 11 % en 2014, contre 10,7 % prévu en 2013.

Philippe Ricard - Bruxelles, bureau européen

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